J’ai signé le compromis de vente de ma maison à Hornu un 2 novembre.
Un mois et demi plus tard, le Vlan annonçait un plan Renault. La plupart des délégués et suppléants syndicaux faisant partie de ce plan, les permanents ont obtenu que certains d’entre eux gardent leur place. C’est dans ce cadre-là que mon collègue (et néanmoins ami) Jean-Marie me proposait de garder mon travail.
La conjoncture et surtout mon infaillible intuition (qui peut, dans le cas présent, ne pas être que féminine) me dit que je n’aurais peut-être pas deux fois la chance de partir avec 13 mois de salaire et dix mille euros de prime de licenciement. L’avenir m’a bien confirmé que j’avais raison…
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